Retour rapide accueil
Faits divers dans la presse d'hier

Un accident,arrivé à La Ferté-Loupière, canton de Charny (Yonne) a failli changer les joies d'une noce en tristesses de deuil. Un jeune peintre paysagiste, M. Nesle, et une jeune personne, fille du percepteur des contributions, avaient été unis le matin. Le soir, il y eut bal chez M. Thomas, notaire. A minuit, les jeunes mariés s'esquivèrent mystérieusement il leur fallait traverser une arcade sans rampe, jetée sur une pièce d'eau. M. Nesle, s'approchant très près du bord, tomba et entraîna avec lui sa jeune épouse. Tous deux pouvaient périr, car l'eau avait à cet endroit six mètres de profondeur. Leurs cris, heureusement, furent entendus, et l'un et l'autre purent être sauvés.
La Presse – 12 mai 1845

On lit dans la Bourgogne, d'Auxerre - Dernièrement, dans la communs de Sommecaise, on enterrait civilement une petite fille de deux ans, que ses père et mère, non mariés à l'église, n'avaient point fait baptiser.
Mais à cette occasion, l'instituteur du pays, grand prôneur d’impiété, et l'institutrice, qui partage ses sentiments, ont jugé bon de conduire officiellement, sur deux rangs tous les petits garçons et toutes les petites filles de l'école à l'enfouissement précité.
Les pauvres écoliers ont dû s'exécuter, sous peine d'encourir les foudres de leurs maîtres, il leur a fallu entendre un citoyen Laforge, un marchand ambulant de La Ferté-Loupière, lequel a fait sur le corps de la malheureuse, un prétendu discours, qui n'était qu'un tissu de blasphèmes et d'outrages contre la religion, les prêtres et les sacrements.
La Croix – 28 mars 1884

Tentative de meurtre - Une tentative de meurtre a été commise avant-hier sur la personne d'une femme Gauguin par un nommé Laurin, jeune homme de vingt ans, habitant chez ses parents à La Ferté-Loupière.
Depuis un certain temps ce jeune homme profitant des absences fréquentes d'un mari, entretenait des relations amoureuses avec la femme de celui-ci, âgée de vingt-neuf ans, sa voisine.
Le mari étant revenu habiter d'une façon définitive au domicile conjugal, nos amoureux durent chercher un autre endroit pour continuer de se voir.
Ils avaient à cet effet, choisi l'ombre d'un bois, mais cette ombre était loin d'être discrète car la femme Gauguin, qui les guettait finit par les surprendre. Mais son indiscrétion devait lui couler cher : en effet, les amoureux, pour se venger, décidèrent de se débarrasser de ce témoin gênant, Laurin après s'être, sur les investigations de se maîtresse, déguisé en femme et grisé complètement pour se donner de l'audace, allait attendre, mardi soir, la femme Gauguin à son passage. Il se précipita sur elle pour la rosser de coups de poings.
La femme Gauguin, qui est vigoureuse, réussit à se défendre. A ses cris, des voisins arrivant, Laurin prit la fuite.
L'état de la victime est assez grave.
La justice est informée.
La Justice – 20 juillet 1895

Arrestation d'un notaire - Des bruits fâcheux répandus sur la situation de Me D ..., notaire à La Ferté-Loupière, avaient mis vendredi et samedi la population de cette commune dans un indescriptible émoi.
L'étude fut assiégée par une foule de personnes qui réclamaient, la plupart étaient très excitées et proféraient de violentes menaces.
On ne parlait rien moins que d'étrangler le notaire. Le garde champêtre dut même intervenir.
Averti de cette situation grave, le parquet se transporta dimanche à La Ferté-Loupière, et, après enquête, le notaire D ... a été arrêté et écroué à la prison de Joigny.
Le Matin – 13 novembre 1895

Abus de confiance - Auxerre, 19 mai - La Cour d'assises de l'Yonne a condamné à trois ans de prison, D ... notaire à La Ferté-Loupière, qui avait commis pour 16.000 francs d'abus de confiance au préjudice de ses clients.
La Lanterne – 21 mai 1896

La crise du notariat - A Auxerre, malgré une habile plaidoirie de Me Le Barazer, le jury de l'Yonne a prononcé trois ans de prison contre Me D ..., notaire à La Ferté-Loupière, pour détournement de 16.000 francs.
Me D ..., méritait d'ailleurs quelque indulgence ; il avait acheté son étude sans avoir un sou vaillant, comptant sur les 200.000 francs de dot de sa femme, stipulés payables... en 1904. En attendant, il vivait tant bien que mal sur les fonds qui lui étaient confiés, espérant atteindre sans encombre cette trop lointaine échéance.
Un détail original : Me Le Barazer avait apporté à l'audience une somme de 11.000 francs, versée entre ses mains par la belle-mère de son client, qui promettait, en cas d'acquittement, de la distribuer au marc le franc aux créanciers de son gendre.
Pourquoi les jurés de l'Yonne ne se sont-ils pas laissé attendrir ? Un acquittement eût fait autrement l'affaire des victimes de Me D ... que la satisfaction de le savoir pour trois ans sur la paille humide !
Le Figaro – 21 mai 1896

Auxerre, 8 mars - Un fait peu croyable s'est passé à La Ferté-Loupière. Un charbonnier, M. Pointe, se trouvait dans les bois, à cinq kilomètres de son domicile, avec sa femme, quand celle-ci fut prise des douleurs de l'enfantement. Ils purent se rendre jusqu'au hameau le plus voisin, où ils demandèrent asile. Mais, chose extraordinaire, même une place dans une étable fut refusée à la pauvre femme et son enfant naquit sur la voie publique pendant que son mari allait chercher une voiture, dans son hameau.
Grâce aux soins qui furent prodigués à la mère, cette triste aventure n'eut un dénouement grave ni pour elle ni pour l'enfant.
La Lanterne – 10 mars 1898

Nécrologie - Nous apprenons la mort, à Paris, du marquis de Tryon-Montalembert, maire de La Ferté-Loupière et conseiller général de l'Yonne, décédé à l'âge de cinquante-cinq ans.
Journal des débats politiques et littéraires – 19 novembre 1898

Mort de M. Tirman – M. Tirman, sénateur du département des Ardennes, est mort hier matin au château de La Ferté-Loupière, des suites d'une pneumonie.
M. Louis Tirman était né à Mézières le 29 juillet 1837. Il débuta comme préfet des Ardennes après le 4 septembre 1870. Révoqué au 24 mai, il lut réintégré dans l'administration en 1876 et occupa successivement les préfectures du Puy-de-Dôme et des Bouches-du-Rhône. Nommé conseiller d'Etat en 1879, il fut appelé en 1881 au gouvernement général de l'Algérie.
Pendant les dix années qu'il resta à la tête de notre grande colonie africaine, M. Tirman aida puissamment à son développement par les réformes qu'il accomplit dans la réglementation de la colonisation.
M. Tirman, qui était commandeur de la Légion d'honneur, avait été élu en 1892 sénateur des Ardennes. Il présidait également le conseil d'administration de la compagnie des chemins de fer de Lyon.
La date des obsèques n'est pas encore fixée.
Le corps de M. Tirman sera transporté à Paris.
Gil Blas – 3 août 1899

Nécrologie - Nous apprenons avec le plus vif regret la mort soudaine et imprévue de M. Tirman, sénateur des Ardennes, président du Conseil d'administration de la Compagnie P.L.M., et ancien gouverneur de l'Algérie, décédé mercredi, au château des Taboureaux, près de La Ferté-Loupière (Yonne), après une courte indisposition, provoquée, assure-t-on, par une ingestion d'eau glacée.
La Compagnie P.L.M. perd en M. Tirman un conseil et un ami très sûr et très sage.
Le Journal des Transports adresse au président défunt un souvenir respectueux et un adieu ému, et prie la famille d'agréer ses sincères et cordiales condoléances.
M. Tirman
M. Tirman, sénateur des Ardennes, ancien gouverneur général de l'Algérie, président du conseil d'administration de la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée, est mort hier matin au château des Taboureaux, près de La Ferté-Loupière (Yonne).
M. Louis Tirman était né à Mézières le 27 juillet 1837. Républicain sous l'Empire et chargé provisoirement, après le 4 Septembre d'administrer le département des Ardennes, maintenu à la préfecture par M. Thiers le 6 avril 1871, révoqué après le 24 mai, il fut renommé le 21 mars 1876 préfet du Puy-de-Dôme et de nouveau révoqué après le 16 Mai.
Après les élections du 14 octobre 1877, il fut nommé préfet des Bouches-du-Rhône et conseiller d'Etat deux ans plus tard. Au mois de novembre 1881, il fut appelé à recueillir la succession de M. Albert Grévy au gouvernement général de l'Algérie, et pendant onze ans il occupa ces hautes et délicates fonctions, qui l'amenèrent plusieurs fois à prendre la parole, comme commissaire du gouvernement, dans la discussion des questions algériennes par le Parlement.
Son administration de l'Algérie a été marquée par de nombreuses améliorations ; on lui doit l'application de l'aliénation des terres domaniales, la constitution de l'état civil des indigènes, des améliorations financières, le développement de l'assistance publique, la création de nombreux centres de colonisation, de chemins de fer, de routes, de maisons d'école.
Il eut pour successeur, en 1891, M. Cambon et fut promu à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur.
Propriétaire dans le département des Ardennes, membre du Conseil général pour le canton d’Attigny, président de cette assemblée, il fut élu sénateur le 18 décembre 1802 dans une élection partielle par le département des Ardennes. En l894, il fut réélu par ce même département, au premier tour, par 652 voix sur 851 votants.
M. Tirman était inscrit à la gauche républicaine du Sénat.
Il était président de la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée, vice-président du Syndicat du Chemin de fer de Grande-Ceinture de Paris, membre du Syndicat du Chemin de fer de Ceinture et administrateur de l'Ouest- Algérien.
Le corps de M. Tirman sera transporté à Paris.
Le Journal des transports : revue internationale des chemins de fer et de la navigation
5 août 1899

Un grand malheur vient d'éprouver de très braves gens, les époux Pointé, demeurant au hameau des Sbillas, commune de La Ferté-Loupière, où ils exercent la profession de charbonniers.
Avant-hier, ils s'absentaient vers deux heures de l'après-midi, laissant chez eux leurs trois enfants et un nourrisson qui leur avait été confié. L'un des pauvres petits ayant sans doute commis l'imprudence d'enflammer une allumette, mit le feu à du linge placé à proximité. Les flammes ardemment jaillies, se communiquèrent aux vêtements de trois des enfants qui, affolés, poussèrent des cris déchirants.
Des voisins survinrent en toute hâte et se portèrent au secours des innocentes victimes. Mais il était trop tard, hélas.
Trois des enfants étaient affreusement carbonisés et ne tardaient pas à rendre le dernier soupir au milieu d'atroces souffrances. Voici leurs noms Jeanne Pointé, âgée de trois ans ; Léa Pointé, huit mois, et Louise R .... La famille de cette dernière habite à Paris, rue des Saints-Pères. Un seul des enfants Pointé n'a pas été atteint par les flammes.
Le désespoir des malheureux parents est indicible.
Le Petit Parisien – 7 juin 1901

Par chagrins d'amour - Le nommé Victor C ..., âgé de vingt-trois ans, incorporé au dragons, en garnison à Joigny, natif de La Ferté-Loupière, rentrant d'une absence illégale cette nuit, reçut les reproches du lieutenant dont il était l'ordonnance. Une fois seul, le malheureux de tira un coup de revolver d'ordonnance appartenant à l'officier et tomba foudroyé ; la cervelle jaillit par la plaie béante. On suppose que ce suicide est dû à des chagrins d'amour.
Le Petit Parisien – 8 avril 1902

Joigny - Un violent incendie a éclaté la nuit dernière à La Ferté-Loupière, chez M. Dru-Rigollet, boulanger. En quelques instants, la maison était en flammes et le sinistre gagnait rapidement l'habitation de M. Rigollet, beau-père du boulanger. Les pertes, qui sont considérables, consistant en deux maisons d'habitation, écuries, remises,. fourrages, farines.
A l'heure où je télégraphie, les pompiers inondent encore le lieu du sinistre. Le Petit Parisien – 5 juillet 1903

Frédéric Bonnin, 76 ans, propriétaire à La Ferté-Loupière (Yonne), s'est suicidé en absorbant une grande quantité d'eau-de-vie. Le désespéré avait revêtu ses plus beaux habits pour se donner la mort.
La Croix - 16 janvier 1906

M. Sagourin, de La Ferté-Loupière (Yonne), extrayait de la marne dans une carrière lorsqu'un éboulement se produisit. Enseveli, le malheureux n'a pu être retiré vivant.
Le Petit Parisien – 15 juin 1907

M. le docteur Guebhard annonce de la part de M. le comte de Tryon-Montalembert la découverte d'une grande fresque du moyen âge dans l'église de La Ferté-Loupière.
Société française d'archéologie classique – Juillet-décembre 1911

A La Ferté-Loupière (Yonne) on vient de célébrer le centenaire de Mme Bedoiseau ; la plus grande partie de la population, précédée de 1a fanfare, est allée lui offrir des fleurs.
La Croix – 13 février 1912

Mort d'une centenaire. La veuve Bedoiseau, de La Ferté-Loupière, vient de mourir à l'âge de 101 ans et 10 mois, ayant conservé presque l'intégralité de ses moyens intellectuels. La veuve Bedoiseau laisse une nombreuse descendance.
La Croix – 3 janvier 1914

Tués et blessés à l'ennemi - Le lieutenant Simon Franchis, du 14° régiment de hussards, tué d'une balle en plein front à la tête de son peloton, le 22 août, à Ethe (Luxembourg belge). Il était le fils de feu de M. Simon Franchis, l'ancien vétérinaire de Bléneau et le neveu du docteur René Franchis, en son vivant médecin à La Ferté-Loupière (Yonne).
Le Gaulois – 18 mars 1915

Hier a été célébré, en l'église Saint-Pierre du Gros-Caillou, le mariage de M. Edouard du Chayla, capitaine de corvette, officier de la Légion d'honneur, décoré de la croix de guerre, fils de M. Paul du Chayla, conseiller référendaire à la cour des comptes, chevalier de la Légion d honneur, et de Mme Paul du Chayla, avec Mlle de Crépy, petite-fille de la générale Chanzy et fille du baron de Crépy, trésorier-payeur général honoraire, chevalier de la Légion d'honneur, et de la baronne de Crépy.
La bénédiction nuptiale a été donnéè par Mgr Chesnelong, archevêque de Sens, qui a prononcé une belle allocution et a transmis aux nouveaux époux la bénédiction que S. S. Benoît XV avait daigné leur envoyer.
La messe a été dite par l'abbé Mertens, curé de La Ferté-Loupière (Yonne).
Les témoins étaient, pour le marié : l'amiral Lacaze, ancien ministre de la marine, et le commandant du Chayla, son oncle ; pour la mariée : le général Féraud, inspecteur général de cavalerie, grand croix de la Légion d'honneur, son oncle, et le baron Maurice de Crépy, son frère. La quête a été faite par Mlle Germaine Féraud et M. de Jonchay ; par Aille de Lander et M. Armand du Chayla ; par Mlle A. du Boucheron et M. Jacques de Crépy , et par Mlle de Mun et M. Bernard du Chayla.
Le Gaulois – 7 décembre 1920

Drame mystérieux - L'autopsie du corps de Mme Leblanc, femme du juge de paix d'Aillant-sur-Tholon (Yonne) et et de la jeune Coulon, sa nièce, pratiquée par le docteur Guenot, de La Ferté-Loupière, a établi qu'elles avaient succombé toutes deux à une fracture du crâne causée probablement par un coup de marteau. Après les avoir tuées, Leblanc s'est donné la mort.
Le Temps – 25 octobre 1925

Un excellent critique d'art, Georges Turpin, explique dans sa préface à l'exposition de Georges Carré que ce peintre, qui à son début était décorateur et enlumineur, et peignait des fêtes bien ordonnées dans des paysages à la Watteau, a été conquis par le vérisme, au cours d'un séjour dans un petit village du Gâtinais. Il y a, en effet, dans cette suite de peintures qui forment comme un portrait à nombreuses facettes d'un petit village, une singulière joie de peindra et une belle sincérité. Voici la petite église et la sortie de messe du dimanche, avec des paysannes aux allures simples et bien dessinées. Les fermes qui avoisinent ce petit coin de La Ferté-Loupière apparaissent dans la simplicité et la gaucherie de leurs architectures strictes et fatiguées. Des images de vieux paysans sont fixées avec sobriété et, certes, dans la réalité de leur caractère.
Mercure de France – 15 décembre 1926

Un drame de la jalousie - Depuis quelque temps, M,.Robert Leroy, ajusteur, trente-cinq ans, demeurant à Auvers-Saint-Georges et père de quatre enfants, soupçonnait sa femme d'entretenir des relations avec un nommé Assier, charbonnier à La Ferté-Loupière (Yonne). Rentrant chez lui hier soir, il trouva sur la table un mot de sa femme indiquant qu'elle s'en allait. Il se mit à sa recherche, la trouva près de la gare de la Ferté-Alais et tenta, mais en vain, de la faire revenir sur sa décision. Il se mit alors la recherche de celui qu'il soupçonnait de détourner sa femme et le trouva non loin de là. Une violente discussion s'ensuivit. M. Leroy sauta sur sa moto, retourna chez lui, y prit un revolver et revint à la gare où il trouva Assier et sa femme en conversation. S'approchant du couple, il tira trois coups de revolver sur Assier qui, par bonheur, ne fut pas atteint. Mme Leroy et Assier s'enfuirent dans la gare et sautèrent dans un train en partance pour Paris. M. Leroy a été laissé en liberté provisoire pour s'occuper de ses enfants.
Le Petit Parisien – 19 juillet 1932

Nouveaux crimes du terrorisme - A La Ferté-Loupière - Six individus descendus d'une automobile ont brisé un carreau de la recette buraliste tenue par M. Marlot. Sous la menace de revolvers, ils se sont fait remettre tout le tabac se trouvant dans le débit.
Le Matin – 27 octobre 1943

Des bandits rançonnent un négociant - Auxerre, 30 juin - Huit hommes armés ont enlevé M. Joseph Thomas, 64 ans, négociant en métaux à La Ferté-Loupière. En se retirant les bandits ont déclaré à la fille de M. Thomas que son père serait remis en liberté moyennant le versement d'une somme de 225.000 francs. Les malfaiteurs ont, en outre, emporté plusieurs livrets de caisse d'épargne et une somme de 40.000 francs.
Le Matin – 2 juillet 1944

Haut de pages

Retour